La cuisine centrale, située près de l'école Jean-Jaurès, de Cossé-le-Vivien arrive à saturation.
« Elle avait été prévue pour confectionner entre 500 et 600 repas par jour. Aujourd'hui, on fait le double. On est entre 1 300 et 1 400. Elle est utilisée par dix communes », souligne le maire, Christophe Langouët.
Agrandir ou construire ailleurs
« Le site est aussi un peu vieillissant. Et l'on se doit d'offrir de bonnes conditions de travail à nos agents pour continuer à garder une équipe de qualité, et on se doit d'être exemplaires en termes de normes sanitaires. Donc, nous réfléchissons à une nouvelle cuisine centrale pour les vingt prochaines années. »
La Ville a retenu un cabinet d'études, qui l'épaule. « C'est lui qui nous guidera dans notre choix. Il y a plusieurs options. On peut rester ici et on agrandit, alors ça serait l'occasion de revoir le parking et les flux des véhicules dédiés au repas car on en transporte aussi. Ou alors on construit un nouveau bâtiment ailleurs. Cela pourrait être derrière les bâtiments de la communauté de communes, ou à côté du restaurant de l'Ehpad Ambroise-Paré, du côté de l'école Sainte-Marie. »
Assurer la continuité
Pour l'heure, rien n'est défini. « Avec le cabinet, on va travailler les avantages et inconvénients de chaque option. L'aspect financier ne sera pas négligeable aussi et devra être pris en compte, car c'est un projet qui avoisinera le 1,5 million d'euros. »
Autre problématique à intégrer : « Quel que soit le choix fait, il faudra que le service perdure pendant les travaux. Nous devons assurer la continuité du service. »
Le bureau d'études devrait rendre sa copie aux alentours de mars. « On espère un début de travaux entre octobre, novembre 2024, pour une réception dix-huit mois après. Ces dates sont à prendre avec des pincettes car tout dépend des choix. »
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