Des établissements recevant du public ont été la cible de fausses alertes attentats, mardi 24 octobre au matin. Les lieux visés étaient les mairies de Laval, Changé et de Meslay-du-Maine, le centre Enedis, rue Crossardière à Laval et la Cité administrative, à Laval. Ces fausses alertes ont provoqué le déploiement de nombreux moyens des forces dédiées à la sécurité publique. Les alertes attentats ont été levées et tous les personnels ont pu regagner leur poste, qui avait été préalablement évacué.
La préfète qui s'est rendue à la Cité administrative rappelle que les auteurs de ces fausses alertes sont systématiquement recherchés.
Les coupables sont passibles de poursuites judiciaires (jusqu'à deux ans d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende).
"Ces alertes et menaces perturbent l'ordre public" et "peuvent mobiliser inutilement les forces de l'ordre dans un contexte Vigipirate où elles doivent assurer la sécurité de tous", indique la préfecture dans un communiqué.
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