Château-Gontier-sur-Mayenne
La population estimée en 2021 est à 17 370 contre 12 143 habitants en 2010 (mais ce chiffre ne prend pas en compte Azé et Saint-Fort avec qui Château-Gontier a fusionné en 2019). Grosse augmentation à noter pour Gennes-Longuefuye qui passe de 1 015 à 1 373 habitants, en plus de dix ans (2010-2021). Il en est de même pour La Roche-Neuville qui passe de 911 à 1 246 habitants. Chemazé progresse aussi (1 409 habitants, +10).
Dans le Craonnais
La ville centre Craon (4 586) perd 179 habitants par rapport à l'année 2010, et 108 habitants par rapport à 2015. À moins de 10 km, Niafles (353) gagne 34 habitants en onze ans, mais la hausse ralentit ces cinq dernières années, seulement + 5 habitants. À Athée (485), la commune a perdu 37 habitants depuis 2010. À Pommerieux (712), la population a diminué de 36 habitants depuis 2010. À Livré-la-Touche (786), le nombre d'habitants a reculé de 27 unités sur la même période.
Dans le Cosséen
La ville centre Cossé (3 315 habitants) gagne 300 habitants en onze ans (2010-2021), Quelaines (2 193 habitants) en gagne 189, Astillé (904) en gagne 98 et Méral (+5 en onze ans) se maintient.
Dans le Renazéen
Le secteur est toujours sur une tendance à la baisse avec sa ville centre Renazé dotée de 2 568 habitants qui en perd 168 en dix ans, Congrier (-27). Des progressions tout de même : Ballots : +52 et Saint-Aignan-sur-Roë : + 50.
Dans le pays de Meslay-Grez
La commune phare de Meslay-du-Maine (2 851 habitants) gagne 57 habitants en dix ans (2010-2021), alors que Villiers-Charlemagne (1 099) en gagne aussi, mais de son côté Grez-en-Bouère (997) en perd et repasse sous la barre des 1 000 habitants en perdant 26 habitants.
À noter du côté de Bouère, 33 habitants de plus, alors que Bouessay est passée de 780 en 2010 à 747 en 2021.
Au Lion-d'Angers et ses environs
Au Lion-d'Angers (5 329), la ville des Vallées du Haut-Anjou bénéficie de la proximité d'Angers. En onze ans entre 2021 et 2010, elle a gagné 1 561 habitants. En profitent les communes périphériques, ainsi Montreuil-sur-Maine (788) qui gagne 80 habitants.
De même Chambellay (409) contre 345 habitants en 2010, La Jaille-Yvon (347) contre 319. Erdre-en-Anjou (5 859) a gagné 53 habitants en cinq ans, depuis la fusion des quatre communes (La Pouëze, Brain-sur-Longuenée, Gené, Vern-d'Anjou).
Les Hauts d'Anjou
Composés de huit communes, les Hauts-d'Anjou comptent 8 881 habitants en 2021. Le secteur est en croissance comme le prouvent aussi les chiffres de communes voisines plus au sud comme Thorigné d'Anjou (1 274 habitants) qui gagne 118 habitants en onze ans ou encore Sceaux d'Anjou qui passe le seuil des 1 000 habitants (1 182 habitants) contre 987 en 2010, soit +195 habitants.
Ombrée-d'Anjou
Ombrée-d'Anjou perd près de 200 habitants. La commune nouvelle compte 9 058 habitants, au début de l'année 2021. Pouancé, lors du dernier recensement avant la fusion, en 2010, en comptait 3 248. Bouillé-Ménard gagne 22 habitants, Armaillé +29.
Segré-en-Anjou Bleu
Segré-en-Anjou Bleu compte 18 496 habitants, au 1er janvier 2021. Un effectif stable puisque lors du précédent recensement, en 2015, la commune nouvelle en comptait 18 473. Avant la fusion, lors du recensement de 2010, l'INSEE dénombrait 7 224 personnes à Segré.
Candé
Candé perd 71 habitants (2 866) tout comme Challain-la-Potherie qui en perd 40 (807 habitants). À l'inverse, la commune de Chazé-sur-Argos en gagne 32 sur onze ans (1 077). Angrie voit sa population diminuer de 19 habitants, tandis que Loiré en récupère cinq (906).
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