Mardi 6 février, le comité des fêtes de Marigné a remis trois chèques de 1 000 € à des associations locales.
Jean-Pierre Boisiaud, le président du comité des fêtes, l'organisateur de la foire aux pommes, explique : « Notre dernière édition, qui a mobilisé 170 bénévoles pour un village de 700 âmes, pour laquelle 500 repas ont été servis et aux très nombreuses animations a aussi bénéficié d'un superbe soleil. Bref, les planètes étaient alignées pour une édition excellente. »
Il explique qu'avec une partie des bénéfices, « un repas est offert à nos bénévoles » mais aussi a permis d'« acheter des équipements pour continuer à accueillir le public dans d'excellentes conditions ».
Et « on remet le reste à des associations locales pour les aider ».
1 000 € pour l'école
Cette année, trois associations en ont bénéficié, avec toujours l'école Les Roseaux et l'association des parents d'élèves.
Cette année elle organise « une classe découverte à La Bourboule pour des élèves qui à cause de la Covid n'avaient jamais pu partir », explique la présidente, Julie De-Sa.
Le chèque aidera aussi l'école et l'équipe éducative dans son projet d'achat de nouvelles machines (et notamment pour de la couture) « pour mettre en projet les élèves » en confectionnant divers objets.
Ligue contre le cancer et Unicef
La Ligue contre le cancer a elle aussi reçu un chèque de 1 000 €. Il aidera le premier centre décentralisé du département de soins de support et d'activité basé à Segré (Espace Ligue contre le cancer de l'Anjou bleu) à proposer ses actions et toujours de manière gratuite.
« Nous proposons de la marche nordique, du Pilates, des groupes de parole..., mais ce qui attire le plus sont les soins socioesthétiques. Ils ont un succès fou car c'est un véritable moment bien-être, de relâchement pour les bénéficiaires qui, ils nous le disent, n'iraient pas à Angers si nous n'existions pas », souligne Marie-Claude Gontard, coordinatrice suppléante.
Enfin, un dernier chèque a été remis à l'Unicef 49.
« Le don va remonter à l'Unicef France qui priorise là où il y a les besoins et notamment ceux tournés vers les enfants. On parle souvent de Gaza, de l'Ukraine, mais il y a beaucoup d'enfants qui souffrent partout », explique Nelly Brossard, déléguée à Unicef.
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