Maxime Sorel a ainsi pu compter sur cinq renforts dont Emmanuel Bouvet, l’un des co-fondateurs de V&B, mais aussi Marine Delarivière, atteinte de la mucoviscidose, une cause pour laquelle le skipper malouin est engagé depuis longtemps, et mordue de la mer.
Après 20 h de traversée et quelques péripéties (une poulie s’est cassée et il a fallu faire demi-tour pour récupérer une voile qui s’était envolée), le dirigeant de l’entreprise castrogontérienne avoue que l’aventure était « impressionnante. Rien à voir avec une simple balade. Je ne m’attendais pas à ce que ce soit aussi sportif. Le moindre nœud est important à gratter ».
Place maintenant à la course, la vraie cette fois ci, qui emènera Maxime Sorel, en solitaire, de Plymouth vers New-York. Une épreuve redoutée et redoutable dont l’origine remonte aux tout débuts de la course au large en solitaire. Dans son périple, le skipper malouin devra surmonter entre autres les glaces et le brouillard mais aussi surveiller les nombreux cargos, bateaux de pêche et mammifères marins. Arrivée prévue entre le 15 et le 20 mai.
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