Deux mois après, difficile de dire qu'il a eu un accident cardiaque. Le Saint-Fortais a vraiment eu beaucoup de chances. D'abord son ami qui lui a administré les gestes qui sauvent. Puis la chaîne des secours qui s'est très bien déroulée. Malgré plus de deux semaines de coma au CHU d'Angers, le sud-Mayennais s'en sort sans aucune séquelle. Philippe Esnault fait partie des 3% de victimes d'arrêt cardiaque dans ce cas.
Lire son histoire dans notre édition du 6 mai.
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