L'ancien local était exigu, «c’était limite par rapport aux normes de sécurité », déclare Nadia Hachami, vice-présidente de Mosaïque, l'association qui regroupe 30 à 40 familles, et qui a vocation à promouvoir le culte musulman. Grâce aux dons locaux, qui traduisent «un ancrage territorial», les adhérents, « se sont donné les moyens d’avoir un lieu plus adapté et confortable ». L'association veut communiquer en toute transparence pour éviter les amalgames... Lire en détails dans le Haut Anjou du vendredi 6 mai.
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