En cette période de rentrée 2024-2025, l'ensemble scolaire Bourg-Chevreau à Segré (Maine-et-Loire) accueille près de 1 000 élèves en comptant l'école primaire, le lycée et son centre de formation. "C'est identique à l'an passé, explique Daniel Chevalier, le chef d'établissement. C'est plutôt rassurant car il n'y a pas de grosses variations."
Le lycée compte 85 enseignants dont treize nouveaux, mais pas que.
"On a une personne qui prend tous les projets de dimension internationale de l'établissement. Il y a une volonté de travailler cette dimension pour les partenariats, les labels, les accréditations ou Erasmus. L'établissement fait beaucoup de choses en lien avec les partenaires étrangers." C'est d'ailleurs Fanny Idani qui aura cette responsabilité.
De son côté, Marine Caron aura la responsabilité du bureau des entreprises, qui vient d'être créé.
"Le but est de faire le lien entre l'école et le tissu économique local avec lequel on collabore. L'idée est d'être une interface entre les élèves et le monde professionnel." Cela peut être favorable pour la recherche de stages ou autre. "L'idée est d'essayer de s'organiser et que l'établissement puisse proposer des choses."
Agrandir les espaces
Cela répond à une hausse régulière du nombre d'alternants (85 cette année). "Il y a une réflexion sur les priorités pour faire évoluer l'établissement. On a besoin d'agrandir nos espaces sur notre campus. Pour l'instant, il n'y a rien d'engagé."
Le lycée vient également de mettre en place un pôle pour les élèves ayant besoin d'un accompagnement éducatif particulier. "Cela concerne les élèves qui ont des aménagements de cours, qui ont besoin de matériel, d'une aide humaine, des élèves en situation de handicap ou souffrant de dyslexie et de dysorthographie, tous ceux dont la scolarité doit être accompagnée." Marie Renou (directrice adjointe) et Marine Caron seront en binôme pour suivre cette situation.
Une équipe sera également déployée pour traiter les situations d'intimidation afin d'éviter les situations de harcèlement scolaire.
"Côté restauration, on fait évoluer l'offre pour travailler plus de produits locaux, reprend Daniel Chevalier. Cela avait été travaillé en fin d'année scolaire."
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