Dans quel cadre êtes-vous allés au Brésil ?
Par hasard. Nous avons eu une belle opportunité quand ma mère a gagné un voyage tout inclus via un jeu concours d'une agence de voyage dédiée aux événements sportifs. Maman n'aime pas le football, et mes frère et soeur n'étaient pas disponibles. Alors mon père et moi en avons profité.
Vous y êtes allés par vos propres moyens ?
Par l'agence de voyage IOX. Elle travaille en partenariat avec la fédération française de football. Elle organise les vols, hôtels et réservations pour le match. Nous sommes partis de Paris le mercredi matin. Nos kits de supporters nous ont été fournis et nous nous sommes envolés jusqu'à Salvador en passant par Lisbonne.
Vous étiez donc à Salvador au Brésil ?
Oui, et nous avons vite senti après l'atterrissage l'ambiance Coupe du monde qui règne. Un des policiers aux douanes a même crié 'goal” au second but encaissé par l'Espagne face au Chili.
Avez-vous fait du tourisme ?
Un peu. Sur place, nous avons découvert un joli pays qui a cependant du mal à cacher les disparités sociales (favelas et ghettos de riches). La ville est immense. Nous nous déplaçions en bus ou en taxi. Sensations garanties ! Je crois qu'ils ont tous pris des cours de conduite à la Ayrton Senna ou à la Sébastien Loeb.
Avez-vous profité de l'ambiance en ville ?
Nous séjournions à Salvador, au bord de l'Atlantique, une ville immense de trois millions d'habitants, donc l'ambiance diffère selon les quartiers où l'on se trouve. Nous avons visité le quartier historique, qui célébrait une fête locale. Le climat est agréable. Actuellement il fait chaud ! Pour les plages, vous n'avez que l'embarras du choix mais il faut aimer les vagues. Un surfeur basque ou landais s'y sentirait à son aise.
la suite dans l'édition du 4 juillet 2014
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