« Adolescent, j'écrivais des poésies. Je racontais des petites histoires, se souvient Lionel de Messey habitant de La Jaille-Yvon (Maine-et-Loire) près du Lion-d'Angers. Je me suis lancé vraiment quand j'ai eu la trentaine. À ce moment-là, avoue-t-il, je n'étais pas très bien dans ma tête. L'écriture a été un exutoire ». C'est comme ça qu'est sorti La Bête à bon diable (2008) un recueil de nouvelles très sombre tiré à 500 exemplaires à compte d'auteur. « J'étais...
Vous devez bénéficier d'un abonnement premium pour lire l'article.
Abonnement sans engagement
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.