Le parking de l'hôpital de Château-Gontier (Mayenne) est atteint par la montée des eaux lundi 27 janvier 2025.
L'eau arrivait au niveau des marches des anciens bains douche et entourait les lieux. - Thomas Clavreul
Déjà dans le week-end "on était en état de surveillance. Nous avions reçu des alertes de la préfecture et l'Agence régionale de la santé vu qu'on est en zone inondable", explique la communication de l'hôpital.
Anticipation et habitudes
Devant l'avancée des eaux de la Mayenne, "le parking sous l'hôpital a été fermé samedi matin à 6 h 04. Mais tout avait été anticipé en amont pour sa fermeture : dès le vendredi les places les plus proches de la rivière avaient été interdites au public. Aussi, des appels dans les différents services et du porte-à-porte avaient permis de prévenir."
Ce jeune garçon a bien tenté de traverser avec sa trottinette malgré la route coupée, il a dû rebrousser chemin. - Thomas Clavreul
Le parking était totalement fermé le dimanche. Lundi 27 janvier dans l'après-midi, la moitié du parking couvert était atteinte par les eaux.
La route devant l'hôpital était coupée. - Thomas Clavreul
"Les agents anticipent ce genre d'événements, cela arrive régulièrement", ajoute le service communication.
Les eaux atteignent le parking. - Thomas Clavreul
Aussi, l'hôpital a "bloqué un ascenseur qui va vers le sous-sol et qui est uniquement utilisé par les agents. On l'a bloqué par précaution", indique la communication qui souligne que cette inondation "n'occasionne pas de problèmes particuliers dans le bon fonctionnement des services de l'hôpital."
Le parking était interdit d'accès. - Thomas Clavreul
Sœur Annie
L'hôpital est vigilant car l'eau a atteint "les bains douches, là où vit sœur Annie. Elle vit toujours à l'intérieur, nous sommes en relation constante avec elle."
Malgré les inondations, l'hôpital fonctionne normalement. - Thomas Clavreul
L'eau arrivait lundi après-midi au niveau de ses marches d'entrée.
Les parkings extérieurs, parc Saint-Fiacre étaient eux aussi en partie atteint par les eaux. - Thomas Clavreul
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