Il est samedi soir et François Durelle est heureux d'ouvrir son bar-restaurant pour y travailler et accueillir sa clientèle. La boule disco est allumée, les verres sont bien rangés et les couverts déjà posés. Pourtant, la veille, il a fermé son établissement vers 2 h du matin. "Avec le karaoké, les gens restent toujours un peu plus longtemps, confie-t-il près de l'enceinte,...
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