"Pas le choix." Les mots d'Éric-Alban Giroux, directeur du Centre hospitalier du Haut-Anjou, à Château-Gontier (Mayenne) sont clairs. Le passage à l'utilisation de l'intelligence artificielle est selon lui indispensable.
"On a 1 200 agents, je leur dois protection. Il faut s'en saisir pour éviter le remplacement bête et méchant de l'Homme par la machine", explique-t-il.
Le directeur de l'hôpital a alors décidé d'intégrer, petit à petit, cet outil, tant pour les tâches administratives que...
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