Vincent Houssin, le blessé -
Vincent Houssin sera aux commandes de la moto n°119, une Yamaha R1 de l’écurie Slider Endurance. Mais le Castrogontérien de 36 ans qui en est déjà à une douzaine d’éditions, n’est pas au top de sa forme. Il a chuté deux fois lors de la première épreuve du championnat de France. Résultats : des déchirures, des blessures au bassin et surtout un poignet gauche fracturé.
L’objectif du team (qui concourra dans la catégorie superstock) reste «d’essayer de rentrer dans le top 10 et un podium dans notre catégorie. » Pour cela, il faudra déjà se qualifier « mais cela ne devrait pas trop poser de problèmes, on se classe souvent entre la 20e et la 25e place». Il sera associé à deux pilotes avec lesquels il a déjà couru : Charles Diller et Charles Geers.
Sébastien Delhommeau, le doyen combatif -
Sébastien Delhommeau sera l’un des trois pilotes de la n°12, de l’écurie Speedteam. Il roulera comme Vincent avec une Yamaha R1. Il sera associé à Nicolas Loyau et Freddy Bequin.
Sébastien Delhommeau, 44 ans, sera l’un des doyens de l’épreuve. Mais pas le moins combatif. On se souvient encore du Prix du Mérite qu’il avait reçu en 2015 pour avoir poussé sa moto pendant deux kilomètres afin de passer la ligne sous les acclamations du public, plutôt que d’abandonner.
Avec son équipe qui participera à quatre des cinq étapes du championnat du monde (sauf la manche au Japon à Suzuka) «on veut finir déjà, et sans abîmer la moto car on veut aller dans quinze jours à la manche en Slovaquie. Si on peut être dans les dix premiers au Mans de notre catégorie ça serait bien.»
Ils avaient fini 10e en superstock (21e du général) lors de l’étape du Bol d’Or, la première du championnat du monde d’endurance.
NB : Pascal Meslet, sera lui pilote remplaçant dans l’équipe nord-mayennaise Manau Compétition.
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