Dominique Morin est originaire de Brains-sur-les-Marches. Il est associé avec sa femme, avec un salarié à temps partiel. Ils possèdent 50 hectares et 50 vaches laitières.
Depuis plus de 20 ans, il fait partie de la Confédération paysanne. Sous l’ère Vincent Guillet, il était membre du secrétariat, et sous l’ère Raphaël Bellanger il en était le secrétaire général. Pourtant, il ne visait pas spécialement le poste.
Dans la continuité de ses prédécesseurs
« J’avais espéré finir ma carrière en levant le pied, mais il fallait bien que quelqu’un prenne la suite. Ce qui est sûr, c’est que je ne ferai qu’un mandat au maximum. Une de nos priorités sera justement de trouver une nouvelle équipe. »
Il s’inscrit dans la continuité de ses prédécesseurs avec un accent particulier « sur le foncier. Si on ne le protège pas, on continuera à baisser le nombre d’agriculteurs.» Il espère aussi « continuer de convaincre sur la prise de conscience nécessaire. Chacun dans son métier a sa part de responsabilités et d’actions pour changer les choses. L’agriculteur un peu plus que les autres, peut-être, car on intervient sur les sols. Il faut les protéger. Nous impactons aussi l’eau et l’air. »
Article complet à retrouver dans notre édition du Haut Anjou du vendredi 3 mai 2019
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