[caption id="attachment_32755061" align="alignnone" width="800"] A Saint-Sauveur-de-Flée, près de Segré (Maine-et-Loire), la famille se compose de François, Noa, Morgan et Angélique. (©photo transmise au Haut Anjou)[/caption]
Dimanche 22 mars 2020, Angélique, à Saint-Sauveur-de-Flée près de Segré (Maine-et-Loire), nous faisait part de son témoignage. Celui d’une famille qui devait faire face au coronavirus.
Le papa, François, 32 ans, a commencé à présenter les premiers symptômes du virus mardi 17 mars 2020.
Sans avoir officiellement été testé par les médecins, et au vu de ses symptômes, ceux-ci lui ont indiqué qu’il devait rester confiné dans son coin, au domicile familial.
Un suivi médical par téléphone
C’est alors toute une organisation que sa compagne Angélique, 30 ans, a mise en place. Désinfecter les draps, la chambre, éviter les contacts, apporter les repas avec précaution, etc.
Comme on l’avait prévenu, une médecin a recontacté François mardi 24 mars 2020 :
Elle m’a expliqué qu’il fallait être vigilant au cours des prochains jours, soit mercredi, jeudi et vendredi. C’est à ce moment que la situation pouvait être critique et que les problèmes respiratoires pouvaient être importants. »
Après avoir passé une mauvaise journée samedi en raison d’un « petit essoufflement », François était soulagé dimanche en commençant à se sentir beaucoup mieux.
La “délivrance” s’est fait attendre mardi 31 mars 2020, jour où la médecin a rappelé une nouvelle fois pour lui indiquer qu’il pouvait sortir de sa chambre et retrouver sa petite famille.
Mais toujours en restant confiné à la maison, comme la majorité des Français !
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