Depuis 50 ans, Jean Arthuis, maire honoraire de Château-Gontier (Mayenne), ancien ministre et ex-député européen, préside les destinées du centre hospitalier du Haut-Anjou (Château-Gontier, Segré).
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A 76 ans, Jean Arthuis, homme politique à la retraite, mesure le chemin parcouru dans le domaine de la santé. 50 ans ont passé, il reste à la tête d'un établissement hospitalier. Le fait assez rare pour être souligné.
Élu maire à 26 ans, Jean Arthuis était nommé le 4 juin 1971 à la tête de la commission d’administration de l’hôpital devenu par la suite conseil d’administration puis conseil de surveillance.
Le développement
Vers 1980, l’événement marquant est le départ des sœurs de l’hôpital à Château-Gontier (Mayenne).
En 1993, c’est la fusion entre les hôpitaux de Segré (Maine-et-Loire) et Château-Gontier (Château-Gontier).
La construction du nouvel hôpital
En 1997 survient le rachat de la clinique l'Espérance à Château-Gontier (Mayenne).
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Entre 2006 et 2008, le souvenir de Jean Arthuis est la construction du nouvel hôpital.
En 2006, a été posée la première pierre avec la venue du ministre de la santé de l'époque Douste-Blazy.
En 2008, était inauguré le nouvel hôpital le long du quai Georges-Lefèvre à Château-Gontier (Mayenne) dans la continuité de l'hôtel-Dieu, et avec son plateau médecine/chirurgie/obstétrique.
Aujourd’hui, Jean Arthuis œuvre encore pour défendre le centre hospitalier du Haut-Anjou, qui a des liens étroits avec le CHU d'Angers (télémédecine notamment).
Jean Arthuis souhaite la continuité du service public en milieu hospitalier malgré certaines tensions.
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