La joggeuse de Saint-Brice (Mayenne), avait déjà mobilisé les gendarmes par le passé. La lycéenne qui a avoué, vendredi 12 novembre 2021, avoir inventé son enlèvement avait fait parler d'elle en 2019.
Le maire de Saint-Brice, André Boisseau, se souvient : "Il y avait eu une histoire en 2019. Elle avait raconté que quelqu’un était entré chez elle. Elle avait contacté la gendarmerie. En tant que maire, on m’avait même montré un portrait-robot. Je n’ai pas su ce que c’était devenu."
Le maire ajoute qu’il ne sait pas si cette enquête avait abouti.
Cette histoire est connue dans le village et dans les communes voisines étant donné que le portrait robot avait, à l'époque, circulé.
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