En novembre 2021, nous vous parlions de cette maman, Émilie, vivant seule avec son enfant dans une fermette à Sœurdres (Maine-et-Loire) sans Internet et téléphone.
Une situation d’autant plus difficile qu’elle vivait une rupture compliquée avec son ex-compagnon et qu’une interdiction de l’approcher avait été ordonnée par le tribunal.
Huit ans de problèmes
Craignant pour elle et son fils, elle souhaitait que le chemin menant chez elle, et les arbres le long, soient entretenus.
À tel point que lorsque de rares réparations avaient tout de même lieu, les techniciens préféraient laisser traîner les fils au sol, plutôt qu’en aérien, où ils se rompaient constamment faute d’élagage.
Émilie se retrouvait isolée.
L’éducation de son fils lors des confinements en avait pâti aussi.
Depuis huit ans, la connexion était très difficile alors qu’elle a toujours payé son abonnement.
Orange et la Ville des Hauts-d’Anjou indiquant que les arbres n’étaient pas à eux, ils n’avaient pas le droit d’intervenir.
Mais Maryline Lézé, maire des Hauts-d’Anjou, avait indiqué qu’avec les propriétaires, une solution était en train de naître.
Les bas-côtés fauchés
La situation semble quelque peu bouger.
Elle se réjouit de « ce début de prise en charge de la situation » mais attend la suite, c’est-à-dire l’élagage des arbres, qui reste le point noir de ce dossier.
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