Après trois ans d’absence en raison de la crise sanitaire, le festival La Nuit Burkinabé fait son retour à Centrale 7. Rendez-vous samedi 30 juillet de 15 h à 2 h, au Bois II à Nyoiseau, près de Segré (Maine-et-Loire).
Pour rappel, l’événement est organisé par Banfora éducation art et culture (BEAC), une association créée en 2010 qui favorise la réussite scolaire et l’épanouissement intellectuel des jeunes Burkinabés de Banfora, au sud-ouest du Burkina Faso.
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"On est sur une année de transition", précise Julien Hoffmann, président de l’association. "On se donne deux ans pour mettre de côté les bénéfices et voir ce qu’on choisit de faire comme actions. Et l’idée, c’est aussi de pérenniser le festival sur le plan financier."
Prix libre
Pour cette 8e édition, de multiples activités et animations font à nouveau partie du programme.
"La billetterie est ouverte depuis le 19 juin. On propose une entrée à prix libre pour accéder aux animations de 15 à 18 h 30. Ensuite, les tarifs d’entrée sont différents si on assiste seulement aux concerts ou si on mange sur place", précise Julien.
Les tarifs étant détaillés sur la page Facebook de l’événement.
Danse, peinture, contes, repas africain ou encore boissons burkinabés attendent les visiteurs, avec également un salon de coiffure, un marché artisanal et un “quartier” dédié aux associations.
Quatre concerts
Côté musique, quatre concerts rythmeront la soirée à partir de 18 h 45.
Pour ceux qui souhaitent profiter de la soirée au maximum, un coin sera accessible pour y faire du camping, gratuitement.
Et les bénévoles restent les bienvenus, même si les volontaires sont déjà nombreux : "On est agréablement surpris, 55 personnes veulent déjà nous donner un coup de main. On n’en a jamais eu autant", sourit Julien.
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