Alors que le printemps vient de débuter, lundi 20 mars 2023, la nature n’est pas la seule à changer. À Château-Gontier (Mayenne), plusieurs mouvements ont lieu ou se préparent dans les commerces du centre-ville.
Voici un petit tour d’horizon de ces mouvements, qu’il s’agisse d’un déménagement, de l’ouverture d’une nouvelle boutique ou d’une fermeture.
Dans la Galerie Clemenceau
Même si rien ne bouge dans les anciens locaux de Noz, il y a du mouvement dans la galerie Clemenceau.
Après le déménagement de l’agence LIP industrie et bâtiment sur la zone de Terre rouge à Azé (Mayenne), une case commerciale était vide.
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D’après la présidente de l’association des commerçants, Castel shopping, Sophie Gaschot, une boutique de prêt-à-porter va s’y installer.
En revanche, rien ne filtre pour l’instant sur un potentiel repreneur pour la case commerciale de la boutique de CBD Green Care, qui a définitivement fermé ses portes.
Place de la République
Au début du mois de mars 2023, le magasin Gentleman a déménagé de la place de la République vers l’ancien local de Célio, au 10, rue des Pintiers.
Dès lors, qui va prendre sa place dans son ancien magasin de 60 m2, à l’angle de la place de la République et de la place du Pilori ?
Le propriétaire aurait déjà trouvé un repreneur.
À quelques mètres, l’ancienne boutique Amy et Lola, fermée depuis le mois de juin 2023, est remplacée par l’agence immobilière l’Adresse.
Place Paul-Doumer
Autour de la place Paul-Doumer, plusieurs changements sont à l’œuvre.
À la place d’un ancien cordonnier, dont l’échoppe était voisine de la librairie, un artisan, nommé Iso Clar, va installer son agence. Des travaux sont en cours.
En face, le magasin de vêtements pour enfants Les P’tits loustics va bientôt fermer ses portes.
Frédéric Belhen, mari de la propriétaire, explique :
« On arrête l’activité. Nous fermons parce que ce que nous proposions en prêt-à-porter n’a pas plu à Château-Gontier. Cela n’a pas trouvé son public et c’est dommage. La date de fermeture n’est pas fixée mais c’est une question de jours. C’est tout de même un échec car on avait tout misé sur le magasin et Anaïs, la vendeuse, a fait son possible. »
D’après lui, des repreneurs potentiels sont intéressés.
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