Quelle tristesse de voir notre beau pays à feu et à sang. Quelle tristesse de voir les voyous soutenus par une partie de la classe politique et les forces de l'ordre accusées de racisme. Quand comprendront-ils que la sécurité et l'ordre sont le premier devoir de l'État ? Ces fameux quartiers existent maintenant dans toute la France ; chez nous à Laval et à Angers c'était la guerre. Ce ne sont pas ces évènements qui favoriseront l'accueil des nouveaux migrants que l'on veut nous imposer dans les campagnes !
Ces jeunes particulièrement agressifs et mal intégrés, veulent casser du flic, ils s'attaquent à tout ce qui représente l'État mais aussi les commerces, les écoles. Ils sont majoritairement Français depuis une ou deux générations, mais ils n'aiment pas la France. 60 % ne sont pas connus des services de police, mais donc, aussi jeunes soient-ils, ils sont déjà 40 % à être connus de la police. À l'instar de ce pauvre Nahel, 17 ans, et déjà arrêté moult fois, ils conduisent des voitures dès leur plus jeune âge sans permis et vivent de trafic. Mais si un malheur arrive, c'est la police qui est à blâmer. Elle qui se prend tant de coups, ils sont 700 à être passés par la case hôpital depuis ces émeutes affolantes. Les parrains de ces jeunes dealers ont sans doute dû siffler la fin de partie car leur business souffre beaucoup actuellement. Conjugués aux efforts des forces de l'ordre, on peut espérer que le calme revienne progressivement. Il restera à expliquer que toutes ces émeutes proviennent de la maltraitance à l'égard des populations des banlieues. On pourra aussi tancer les mauvais Français qui s'inquiètent de l'immigration incontrôlée.
Alors comment fait-on maintenant ? Le calme précaire revenu, on laisse bouillir la cocotte-minute, on continue d'accueillir des flux d'immigrés que l'on ne peut pas recevoir dignement ? On reconstruit, on continue la politique de l'autruche ? Le bon peuple pourra payer et l'État empruntera...
Au minimum, on arrête de critiquer nos forces de l'ordre. Des bavures, la mort de Nahel en est peut-être une, il y en aura tant que des délinquants refuseront de respecter les lois. Mais la peur doit changer de camp. Autrefois, les forces de l'ordre pourchassaient les délinquants. Aujourd'hui ce sont les familles des maires, les familles des policiers et des gendarmes qui sont désignés à la vindicte populaire, eux qui sont attaqués, ils ont peur. Ils sont stigmatisés sur les réseaux sociaux où l'on trouve leur nom et adresse... triste retournement de situation. On a essayé depuis 40 ans la manière douce, c'est un échec retentissant. Il faut passer à la manière forte et cela commence par soutenir nos forces de l'ordre.
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